Le stade Tata Raphaël est le symbole de la pratique du sport en République Démocratique du Congo depuis les années 60.
Avec les arrivées ou passages de Vasco de Gamma, Edson Arantes do Nascimento dit Roi Pelé, de Mohammed Ali avec le combat du siècle en 74 ou encore, des concerts de Kassav et Elton John, la plus belle image du zaire (RDC), à l’échelle mondiale reste là-bas.
Depuis plus de 20ans maintenant, ce stade peine à retrouver son image de l’époque. De responsables de la gestion du stade aux autorités politiques, personne ne trouve la formule pour revêtir ce temple de sa robe d’antan.
Les alentours sont exploités par les tenanciers de buvettes et autres activités extra-sportives .Une situation qui n’arrange nullement l’image de marque de ce complexe sportif,le deuxième après celui du stade des Martyrs.
*Contrat fédération Congolaise de Rugby(Fecorugby) stade Tata Raphaël*
Il a été convenu il y a deux ans,un contrat d’exploitation entre la Fecorugby et le gestionnaire du stade. De ce contrat, de l’espace rugby jusqu’à la piscine, une réhabilitation et mise en valeur de l’espace par cette fédération.
En deux ans, juste un poteau pour les entraînements et une évacuation d’eau dans la piscine, rien de sérieux pouvant réellement attirer du monde, moins encore améliorer la pratique du rugby. Une discipline qui peine a décoller faute d’infrastructures, surtout à cause de l’insolvabilité de la fédération pour un espace en location dont plus d’un aujourd’hui cherche a transformer ce contrant en une cession du gouvernement a l’espace.
*Des problèmes aux solutions*
Une politique nationale sur la gestion des infrastructures sportive s’impose et surtout la mise en place d’une régie de contrôle des infrastructures sportive comme le prévoit la loi sportive.
L’oeil.